Tout repose sur la notion de création de valeur, préférée à celle de la croissance organique par les volumes. Nous avons repensé complètement notre modèle de façon disruptive en travaillant sur la réduction de la complexité, le profilage des clients et la lisibilité de notre offre autour du grand enjeu du 21ème siècle : l’électrification, en développant ce qu’on appelle l’Internet de l’énergie. Nous avons enlevé le "mauvais cholestérol", celui qui graisse les mécanismes de décision dans les entreprises pour garder le bon celui qui nous permet d’afficher une augmentation de 300 % de notre valeur boursière et des profits en hausse, le tout en étant référencé en Europe comme aux États-Unis dans l’univers green.
Nous avons établi une feuille de route à dix ans avec le conseil d’administration, et notre raison d’être est devenue "Electrify the future" pour pour un monde beaucoup plus durable. Ces choix assumés déconcertent les analystes financiers traditionnels à qui nous expliquons que nous avons réduit notre portefeuille clients de 17 000 à 4000 en gardant les meilleurs, les plus rentables. Ils finissent par comprendre que nous sommes sur un marché extrêmement porteur. La demande explose. Nous devons remplacer les énergies fossiles par des renouvelables et la nouvelle génération du nucléaire, tout en rénovant le r