Les conditions de réussite du sommet sont réunies, avec une forte présence sur place des dirigeants des banques publiques de développement, mais aussi des banques commerciales, des personnages politiques et des organisations de la sociétés civile. Le sommet Finance in common se positionne à un moment charnière, juste après les assemblées générales de la Banque mondiale et du FMI, et avant la COP27. Cela montre l’importance des sujets dont nous allons discuter. Nous aurons quatre thèmes principaux, les infrastructures de qualité, la santé et la protection sociale, le climat et notamment l’adaptation au changement climatique, et les droits humains.
Le sommet doit démontrer que nous exécutons les décisions inscrites dans la déclaration conjointe des membres de Finance in common de 2020. Nous sommes passés de 450 entités quand Finance in Common a été lancé, à 530 aujourd’hui. Près de 90% de ces banques n’opèrent que dans leur pays. Nous allons présenter un travail de recherche sur les interactions entre les différentes banques : comment les banques publiques nationales travaillent avec les banques régionales, en quoi les banques multilatérales financent les banques publiques pour faire levier sur les projets, etc. C’est une matière très nouvelle.
L’objet initial de Finance in Common consistait justement à tis