Héritages en péril : protéger nos ressources pour les générations futures
Mercredi 8 octobre à 10h45
La perte de biodiversité, l’augmentation des déchets, la raréfaction de l’eau et des matières premières sont des faits avérés. Quant aux projections onusiennes en termes de demande d’énergie et de ressources, elles ne sont pas rassurantes. Pour autant, l’avenir n’est pas écrit car il dépend de nos décisions et de nos actions ici et maintenant. Quitter l’hubris de notre consommation effrénée pour parvenir à une forme de sobriété des usages et transformer de manière pérenne nos modes de vie, est le seul chemin à suivre pour laisser une planète vivable aux générations futures. Quelles coopérations mettre en œuvre entre acteurs publics, entreprises, associations et citoyens pour y parvenir ?
En présence notamment de Philippe Bihouix, Directeur général d’Architecture recherche engagement post-carbone (AREP).
Pour une économie au service du Vivant
Mercredi 8 octobre à 16h
Et si l’économie devenait un levier de régénération plutôt qu’un facteur de destruction ? À travers le dialogue entre Marine Calmet, Présidente de Wild Legal et Fabrice Bonnifet, Président du C3D et de GenAct, cette conférence vous invite à repenser les fondements de notre modèle économique à travers le prisme du Vivant. Découvrez comment le droit peut devenir un outil de transformation écologique, grâce aux principes inspirants des droits de la Nature. Comment nos liens d’interdépendance au Vivant peuvent s’inscrire au cœur de nos décisions et comment les entreprises peuvent réinventer leurs modèles pour que la création de valeur économique contribue à régénérer les milieux naturels.
Prendre soin de la Terre, des producteurs, des consommateurs et des collaborateurs
Mercredi 8 octobre à 17h45
La raison voudrait qu’acteurs publics, entreprises et citoyens-consommateurs aient pris les décisions et agi déjà depuis des années pour limiter les effets du changement climatique et de la perte de biodiversité. La réalité est que l’atténuation n’a pas du tout été à la hauteur et même s’il reste heureusement des marges de manœuvre dans la prochaine décennie, c’est à l’adaptation aux conséquences de ces bouleversements écologiques à laquelle il va falloir s’atteler sérieusement. C’est en faisant prendre conscience aux êtres humains qu’ils font partie du système Terre et qu’ils procèdent de la Nature qu’on pourra changer les comportements de production, de consommation et de prédation qui nous menacent toutes et tous. Quel rôle les entreprises peuvent-elles avoir dans cette mutation de notre vision du monde ?
Backlash RSE, bilan de l’accord de Paris, pacte vert, droits de douane : comment s’adapter aux bouleversements à venir ?
Jeudi 9 octobre à 9h
Depuis le premier Sommet de la Terre (connu comme Conférence des Nations unies sur l’environnement) à Stockholm en 1972 et tous ceux qui se sont déroulés tous les 10 ans, notamment à Rio en 1992 et 2012, l’humanité a pris conscience de son impact sur son milieu naturel et décidé des mesures correctives qui n’ont cessé de s’amplifier, même si elles n’étaient déjà pas suffisantes. Mais depuis quelques mois, le retour en arrière politique et financier en France, au sein des instances européennes, aux Etats-Unis et dans les institutions internationales menace gravement les progrès qui avaient été faits. Comment les entreprises qui ont compris que la transition écologique était inévitable peuvent-elles inciter les décideurs politiques à reprendre le chemin de la préservation de l’environnement… et de l’Humanité ?
Protéger plutôt que compenser : régénérer les écosystèmes
Jeudi 9 octobre à 14h
Pendant les dernières décennies, des entreprises ont communiqué sur leurs démarches de compensation carbone, principalement via la plantation d’arbres dans les pays en développement, pour signifier leur engagement en faveur de la biodiversité et de la lutte contre le changement climatique. Mais ces démarches ont montré leur limites étant donné le franchissement de plusieurs limites planétaires, justement. Il faut désormais aller beaucoup plus loin et beaucoup plus vite. Ainsi les solutions fondées sur la nature ont montré leur efficacité, ayant l’avantage d’avoir des bénéficies en termes de biodiversité et de climat. Est-il possible de réellement régénérer les écosystèmes ? Et, comment les entreprises peuvent-elles contribuer à régénérer les écosystèmes d’une manière utile et massive ?
Le salon Produrable appartient au groupe AEF, dont Novethic est une filiale depuis juillet.