Le sujet des plans de transition est sur toutes les lèvres depuis plusieurs mois. Derrière un même terme se cachent pourtant de grandes disparités dans la finalité de leur publication, sans que leur contenu ne soit déjà standardisé. Plans axés sur la stratégie face aux risques de transitions, plans prudentiels ou encore plans sectoriels, cette étude en propose un tour d’horizon.

Là où les obligations de reporting de durabilité exigent des entreprises qu’elles identifient les risques et opportunités liés au climat auxquelles elles sont confrontées, les plans de transition se concentrent sur la stratégie mise en œuvre pour y faire face. Le rôle d’un plan de transition est donc d’apporter un niveau de lecture et de compréhension supplémentaire, en fournissant une perspective prospective aux habituels cadres de transparence climat.

Des attentes fortes, à commencer par la crédibilité

Parmi les parties prenantes d’une entreprise, les investisseurs, législateurs, et régulateurs ont chacun leur usage des plans de transition. Ils s’attendent à ce qu’ils améliorent la transparence sur les marchés, favorisent la réorientation des capitaux vers des activités durables ou dotées de perspectives crédibles de décarbonation, ou leur permettent d’agir en tant que superviseurs. Les institutions financières sont doublement concernées, amenées à produire leurs propres plans de transition en se servant de ceux de leurs contreparties.

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Le nombre de cadres internationaux consacrés au moins en partie aux plans de transition et à leur évaluation (selon Reclaim Finance).
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