Très certainement. La transition est le mot clé de l’année 2020. Nous participons au groupe de travail qui doit définir ce que sont les obligations de transition. Nous attendons de pouvoir développer une position commune, car nous voulons éviter toute fragmentation du marché.
Je pense qu’il est important d’élargir le nombre d’émetteurs capables d’aller vers ce type de financement. Il faut encourager tous les émetteurs à intégrer des objectifs de durabilité. C’est de cette façon que nous encourageons les émetteurs chinois à se rapprocher des standards internationaux. Nous les avons référencés sur notre plate-forme pour leur donner de la visibilité, mais ils sont placés dans un espace particulier pour que les investisseurs sachent que leurs obligations vertes se réfèrent au seul référentiel chinois.
Le Luxembourg Green Exchange était dédié, au départ, exclusivement aux Green Bonds, puis nous l’avons étendu aux obligations sociales et durables. Nous envisageons aujourd’hui d’afficher des indices verts, notamment dans le cadre des benchmarks de la commission européenne.
Comment sélectionnez-vous les obligations référencées sur cette plate-forme ?Le Luxembourg Green Exchange a pour finalité de centraliser l’ensemble de obl