Alors que les négociations préalables au sommet climatique de Paris (30 novembre - 11 décembre) s'intensifient, de nombreux investisseurs ont déjà intégré la notion de risque carbone dans leur stratégie. Ils anticipent une interdiction ou une surtaxation des énergies fossiles. Une analyse qui les pousse à dévaloriser leurs actions des sociétés opérant notamment dans les secteurs du charbon, du gaz et du pétrole.